Un élève casse une assiette à la cantine, le collège envoie une facture de 3,28 euros aux parents

Dans ce collège, une assiette cassée « sans faire exprès » suscite l’indignation des parents après avoir reçu une facture envoyée par l’établissement.

Un élève de 5e scolarisé au collège Léonard-de-Vinci à Witry-lès-Reims a cassé « sans faire exprès » une assiette à la cantine. L’établissement demande aux parents de rembourser en leur envoyant une facture. Dans un article de l’Union, relayé par Le Parisien le beau-père se dit choqué de cette situation : « C’est incompréhensible. On parle d’un gamin de 12 ans qui casse une assiette pour la première fois, sans le faire exprès. Et on vient de­ mander aux parents de la rembour­ser ! Je trouve ça mesquin. Ça représente quoi une assiette ? À̀ quoi cor­respond exactement cette somme de 3,28 euros ? J’en ai parlé́ autour de moi, personne ne comprend. Si mon beau ­fils avait cassé́ volontairement, bien sûr qu’il devrait être sanctionné. Je trouverais ça normal, mais là̀ ce n’est pas le cas ».

Le beau-père de l’élève concerné peine à saisir cette demande de remboursement, d’autant plus que son beau-fils aurait involontairement brisé son assiette à la cantine.

L’établissement affirme appliquer le règlement

L’élève de 5e explique qu’il trouve normal de rembourser cette somme si l’assiette avait été cassée de façon volontaire, toutefois, selon lui, ce n’est pas le cas. « Je trouverais ça normal, mais là, ce n’est pas le cas », explique-t-il. Du côté du collège Léonard-de-Vinci, la direction a expliqué avoir appliqué le règlement intérieur de l’école. La famille doit assumer les frais liés à l’objet cassé. Le directeur de l’établissement scolaire souligne que les frais liés à la casse de la vaisselle étaient significatifs et précise que d’autres collèges adoptent une approche similaire.

Le beau-père de l’adolescent décide de rembourser la facture de 3,28 euros en pièces d’un centime.. « J’ai déjà pré­vu les 328 pièces », dit-il.

Une femme de 38 ans accouche d’une petite fille en étant « vierge »

Une femme âgée de 38 ans a donné naissance à une petite fille tout en étant « vierge ». Une histoire touchante.

C’est sur le Dailymail que Kimberley Godsall, 38 ans raconte son histoire : « elle a fait un bébé toute seule ». En effet, la maman n’a jamais eu de rapport sexuel tout en réussissant à accoucher d’une petite fille. Lors d’un spectacle spéciale « maman et bébé« , la femme de 38 ans s’est sentie visée face à cette blague : « Eh bien, c’est un endroit où vous pouvez être sûr que chaque femme dans la pièce a eu des relations sexuelles. » Le comédien avait tort ! En effet bien qu’elle ait donné naissance à sa fille Scarlet, Kimberley est également « fière d’être vierge ». Elle explique que « Même dans une pièce remplie de mamans avec de nouveaux bébés, comme nous l’étions ce jour-là, on ne peut plus supposer qu’ils ont tous eu des relations sexuelles », dit-elle. « Il y a des exceptions à chaque règle et je me suis donc assis dans le public, plutôt suffisant, appréciant le fait que c’était moi, à cette occasion. » Aujourd’hui, la fille de Kimberley a deux ans.

Kimberley s’est jurée que sa première fois serait avec l’homme de sa vie. Malheureusement, elle n’a pas trouvé chaussure à son pied. « Je sais bien que c’est une vision romantique de la vie. Mais dès mon plus jeune âge, je savais que, même si je voulais des enfants, je ne voulais avoir des relations sexuelles qu’avec mon futur mari. Mais d’aussi loin que je me souvienne, j’ai rêvé d’être maman.” Toutefois, Kimberley ne se laisse pas abattre puisqu’elle s’est tournée vers l’insémination artificielle pour la maudite somme de 21 000$ soit environ 19 000€.

Kimberley réalise son rêve d’avoir un enfant

Kimberley a toujours voulu avoir un enfant : « Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé d’être maman et chaque année qui passait, je sentais mon horloge biologique sonner plus fort », « Je ne pouvais pas supporter l’idée de vivre toute ma vie sans jamais réaliser ce rêve d’avoir un enfant. » ajoute-t-elle. Son envie de se préserver ne vient pas d’une religion mais de convictions. Kimberley souhaitait simplement se préserver pour l’homme avec qui elle va se marier, comme sa sœur et sa mère. En effet, elles ont toutes les deux épousé le seul amour de leur vie à 25 ans. Seulement Kimberley a l’impression d’avoir échoué puisqu’elle ne s’est pas mariée pendant sa vingtaine.

Kimberley avec sa fille Scarlett. Crédit : Natasha Pszenicki pour le DailyMail

Les relations les plus longues de Kimberley on eu lieu à l’âge de 22 ans avec un acteur, environ trois mois. Toutefois, elle avait peur de passer le reste de sa vie avec lui au risque que ça n’aille plus loin. « Je me souviens avoir été horrifiée lorsque j’ai dû partager une chambre avec mon premier petit ami, après une soirée de réveillon chez ma sœur. J’ai insisté pour que nous ayons une chambre avec des lits jumeaux, puis je suis resté éveillée toute la nuit, inquiet qu’il puisse bouger », se souvient Kimberley.

Kimberley appréhendait l’idée de recourir à l’insémination artificielle sans avoir eu de relations sexuelles. Cependant, son médecin l’a rassuré en lui expliquant que le fait d’avoir des enfants sans avoir eu de relations sexuelles était bien plus répandu qu’on ne pourrait l’imaginer. Ainsi, fin 2017, à l’âge de 33 ans, Kimberley a fait ses premiers pas pour devenir maman en sélectionnant un donneur de sperme en ligne, via la Banque européenne de sperme au Danemark.

L’ouverture de la PMA à toutes les femmes

Après deux ans de débats au Parlement, la loi de la bioéthique a été promulguée le 2 août 2021. Cette loi autorise les femmes célibataires et aux couples de femmes d’avoir accès à la procréation médicalement assistée (PMA). Le décret d’application sur la PMA précise que le « prélèvement d’ovocytes peut être réalisé chez la femme jusqu’à son 43e anniversaire. » Les hommes, quant à eux, peuvent faire don de leur sperme jusqu’à 60 ans.

L’histoire se termine donc bien pour Kimberley : « Je n’avais peut-être pas l’homme ni le grand mariage blanc dont j’avais rêvé, mais j’étais si heureuse de ne pas manquer l’occasion d’avoir un bébé. »

Source : Aufeminin

« Salut maman, j’ai un problème » : attention à cette nouvelle arnaque par SMS qui cible les parents

Prudence, une nouvelle arnaque par SMS touche les parents et sa détection peut parfois s’avérer difficile. Les escrocs tentent d’obtenir de l’argent en utilisant la plateforme de messagerie Whatsapp.

Les autorités ont remarqué une recrudescence des arnaques par SMS, ce mardi ils ont publié une partagé une nouvelle arnaque signalée via un communiqué publié sur le site cybermalveillance.gouv.fr. Depuis fin 2022, des escrocs envoient un SMS frauduleux dans lequel ils se font passer pour votre enfant afin de vous soutirer de l’argent. Comment fonctionne-t-il ? C’est simple, l’escroc envoie un message sous cette forme pour tenter de vous arnaquer : « Coucou maman, j’ai eu un problème avec mon numéro de téléphone, […] envoie-moi un message sur WhatsApp. »

La personne qui tente de vous soutirer de l’argent en se passant pour votre enfant prétexte un téléphone cassé, volé, perdu, un forfait épuisé ou un bug de carte SIM. Ainsi, ils forcent les parents à contacter « leur enfant » sur un nouveau numéro via WhatsApp.

Ne répondez surtout pas

Si vous recevez un message frauduleux de ce type, « ne répondez pas » conseille le gouvernement. Et surtout, n’envoyez jamais d’argent avant d’être vraiment sûr que votre interlocuteur est votre enfant. Enfin, le gouvernement vous demande de signaler le SMS frauduleux au 33 700 ou par SMS au 33 700 ou encore sur la plateforme du Ministère de l’intérieur, Pharos.

Que faire si vous avez envoyé de l’argent ? Si vous avez réalisé un virement, vous devez alerter immédiatement votre banque de l’opération frauduleuse pour tenter de suspendre le virement avant qu’il prenne effet. Faites opposition et conservez toutes les preuves que vous disposez pour déposer plainte.

Source : Cyber Malveillance gouv.fr

Une mère déscolarise sa fille de 12 ans pour qu’elle devienne influenceuse, sa décision est critiquée

Cette maman d’origine australienne décide de déscolariser sa fille de 12 ans pour qu’elle devienne influenceuse sur Tiktok à plein temps. Sa décision est très critiquée par les internautes…

Kat Clarck, une influenceuse australienne et mère de deux adolescents a publié sur Tiktok une vidéo dans laquelle elle explique vouloir déscolariser sa fille de 12 ans, Deja. En effet, l’adolescente rêve de devenir influenceuse et sa mère souhaite accélérer les choses en la retirant de l’école. C’est le média Billions qui a partagé l’histoire de cette maman et a suscité de nombreuses critiques des internautes sur les réseaux sociaux. Face à ce « lynchage », Kate Clark a donc publié une vidéo pour se défendre avec une toute autre version de l’histoire : « Vous croyez vraiment que je vais déscolariser ma fille pour qu’elle devienne influenceuse à temps plein ? Laissez-moi vous expliquer ce qu’il s’est passé« , explique-t-elle.

Kat déscolarise sa fille pour qu’elle commence une carrière d’influenceuse

Dans la vidéo, la maman raconte également que son enfant ne devrait pas rater des opportunités : « Deja commence à avoir des opportunités maintenant, donc l’école de 9h à 15h, du lundi au vendredi, ne fonctionne pas pour nous parce que nous avons déjà dû la retirer assez souvent de l’école. Nous pensons que c’est mieux pour elle, simplement parce que nous ne voulons pas qu’elle rate ces opportunités. TikTok nous prend beaucoup de temps. C’est exactement ce qui fonctionne pour notre famille », a confié Kat.

@katclark

Deja starts homeschooling next year ❤️

♬ original sound – Kat Clark

La maman poursuit par expliquer que l’emploi du temps d’une écolière n’est pas compatible avec le train de vie de l’adolescente. En effet, sa fille est amenée à beaucoup voyager, elle est donc parfois dans l’impossibilité de se rendre à l’école. Ainsi, dès l’année prochaine, la fillette de 12 ans va être retirée de l’école et suivre les cours à son domicile. Kat tient tout de même à rassurer ses abonnés, si Deja rencontre des difficultés avec ce mode de vie, elle sera réinscrite à l’école dès l’année suivante.

Un choix très critiqué

D’après Kat, elle est à l’écoute de sa fille, elle indique que « Si Deja veut devenir médecin ou avocat, nous l’encouragerons à poursuivre ses rêves. Mais actuellement, ce ne sont pas ses objectifs. Deja déteste l’école. Elle est très intelligente, mais elle n’aime pas ça du tout. Nous sommes prêts à travailler avec elle quoi qu’il arrive, a confié sa mère. Honnêtement, j’aime travailler en étroite collaboration avec mes filles. C’est tellement amusant, c’est comme travailler avec ses meilleurs amis ! »

Sous la vidéo, les commentaires négatifs ont été nombreux, pour certains, sa décision est inconcevable, justifiant que sa fille est en voie de développement et que de retirer sa fille de l’école à l’âge de 12 ans est beaucoup trop tôt. Aussi, certains jugent que la vie d’influenceuse est trop instable pour une fille de 12 ans. Heureusement, la maman peut compter sur ses abonnés qui la soutiennent.

Source : Tiktok et Parents.fr

Quitter la version mobile